Voici tous les horaires de toutes les célébrations de ces jours saints!

Voici tous les horaires de toutes les célébrations de ces jours saints!
Célébrer Noël avec les franciscains de Narbonne:
Samedi 24 décembre:
17h:messe des familles à l’église Saint Bonaventure
18h: messe des familles à l’église St Martin de Cuxac d’Aude.
18h30: messe à l’église Saint Jean – Saint Pierre
00h00: Messe à l’église Saint Bonaventure.
Dimanche 25 décembre:
10h30: Messe du jour de Noël à l’église Saint Bonaventure.
18h30: Messe à l’église Saint Bonaventure
Confession: Jeudi 22 décembre de 17h45 à 18h30
tous les jours de 9h à 12h et de 15h à 18h.
Parmi les nombreux mystiques qui se sont tournés vers la Vierge Immaculée, une place particulière revient à Maximilian Maria Kolbé (1894-1941). Le franciscain conventuel polonais qui offrit de prendre la place d’un père de famille destiné à mourir dans le camp de concentration d’Auschwitz.
Kolbe, en effet, fonda en 1917 avec quelques confrères franciscains la « Milice de l’Immaculée » à laquelle il d’adressa ainsi : Qui es-tu, ô Dame? Qui es-tu, ou Immaculée? Nous sommes incapable d’examiner adéquatement ce que signifie être « la créature de Dieu ». Cela dépasse déjà mes forces de comprendre ce que signifie être « la créature de Dieu ». Mais toi, ô Immaculée, qui es-tu? Tu n’es pas seulement une créature, tu n’es pas seulement une fille adoptive, mais tu es la mère de Dieu. Et ce n’est pas seulement une hypothèse, une probabilité, mais une certitude, une certitude totale, d’un dogme de foi… Es-tu encore la Mère de Dieu? Le titre de mère ne subit pas de mutations. Pour l’éternité Dieu t’appellera : « Ma mère » … Celui qui a établi le quatrième commandement, te vénérera dans l’éternité, toujours… Qui es-tu, ô divine? Lui-même, le Dieu incarné, aimait s’appeler: « Fils d’homme » … Mais les hommes ne l’ont pas compris. Et aujourd’hui encore, combien peu d’âmes le comprennent, et combien elles le comprennent imparfaitement ! … Permettez-moi de vous louer, ô Vierge Immaculée(…).
Concert de Noël donné samedi après-midi à Saint Bonaventure par la chorale « Trioline «
Dirigée par Marie Claude Canitrot.
À l’oratoire – C’est la formation des laïcs pour accompagner des malades et deuil.
Chapitre régional OFS
Le groupe École du Saint Esprit
Le groupe Catéchuménat des enfants en âge scolaire
A l’église Saint-Bonaventure de Narbonne, le jeudi 1er décembre prochain, à 18 h 30, se déroulera une Veillée de l’Avent illuminée de bougies autour de l’autel. Elle s’organise autour de la fraternité.
Notre République s’établit sur une trinité placardée sur les frontons de nos édifices publics : Liberté, égalité, fraternité. On glose à l’infini sur la liberté et sur l’égalité. Reste la fraternité. La fraternité dérange ? Ce n’est pourtant ni un vœu pieux, ni un bon sentiment qui donnerait bonne conscience. C’est une manière de faire société. Que l’Église prêche et vit.
La fraternité est aujourd’hui en panne. Nous ne nous aimons plus, voilà la chose.
Il nous faut réapprendre que nous sommes tous frères.
Nous avons à nous engager, laïcs et prêtres, dans une fraternité active et féconde, là où nous sommes. Il s’agit de participer à l’instauration d’une pratique cordiale de l’altérité. À ce signe, dit Jésus sur le mont des Béatitudes, nous serons appelés fils de Dieu?
En alternance avec des pièces musicales choisies et exécutées par Cathy Depernet, accompagnée de Fanny au violon et Samuel Poujade au piano, nous écouterons pendant une heure des textes de :
Bx Frédéric Ozanam
Vaclav Havel
Simone Weil
Pasteur Martin Luther King
Nelson Mandela
Andréa Ricardi (Sant’Egidio)
Ste Bénédicte de la Croix (Edith Stein)
Frère François Bustillo
Etty Hillesum
Pape François
Parabole du bon Samaritain
Les frères se présentent à François avant tout comme un don de Dieu. Un cadeau inattendu et, à vrai dire, non indolore, car ils apportent une situation nouvelle qui le force à demander l’aide du Seigneur, car personne ne sait lui dire quoi faire. Ils ne sont pas notre conquête, les frères, et ils ne sont pas non plus comme nous le souhaiterions. Ils sont l’œuvre vivante du Créateur offerte gratuitement à chacun d’entre nous. Ils sont donnés, précisément, et nous ne pouvons donc pas les choisir ou les posséder, mais seulement les accueillir et les aimer tels qu’ils sont, avec leurs faiblesses et leurs différences. Ces différences, et parfois ces dissonances, seul le Seigneur peut les recomposer en fin de compte parce que, comme le dirait le Pape, l’harmonie n’est pas faite par nous, mais par l’Esprit Saint.
Ce qui ressort clairement chez François d’Assise, et qui trouve confirmation dans cet écrit fondamental dans la parabole conclusive de sa vie terrestre, c’est que la fraternité pour lui n’est pas une idée, une théorie abstraite, mais un fait concret, une expérience qui change la vie. À côté de ce principe de réalité, et d’autant plus pertinent qu’il en est la source, nous découvrons que pour François il n’y a pas de fraternité si nous ne reconnaissons pas et n’acceptons pas la filiation commune de notre Père céleste. Nous sommes tous frères parce que nous sommes tous les enfants d’un même Père.
Personne n’est donc étranger à l’autre. Cette révolution de perspective, dans la vie de François, conduira à des choix surprenants qui trouvent leur point culminant dans la célèbre visite au sultan d’Égypte. Cette fraternité vécue est le noyau de la conversion du Saint d’Assise, et un tel noyau se trouve en chaque femme et chaque homme qui a rencontré authentiquement Jésus Christ. En fait, si nous ne reconnaissons pas le projet commun d’amour du Père pour nous, il ne suffira pas d’être sœurs ou frères. Même pas biologiquement. D’ailleurs, c’est un frère de sang qui a tué Abel. Et il le tue parce que la haine a fermé les yeux de Caïn qui, ne voyant plus l’amour du Père, ne reconnaît même pas son frère comme tel.
Pour François d’Assise, cependant, la fraternité n’est pas un don statique, une fin en soi. Elle se nourrit et grandit en se nourrissant de la charité. Et cela apporte toujours la paix. La relation avec les frères trace un chemin, initie un processus qui se développe dans une dimension communautaire. C’est après la rencontre avec ses frères, en effet, que le Seigneur lui révèle qu’il doit se conformer à l’Évangile, prendre la forme même du «saint Évangile», et le faire donc de manière radicale, «sans tranquillisants», afin de reprendre une image efficace du Pape François.
Pour le Saint-Patron de l’Italie, prendre soin des autres comme soi-même devient la voie et l’espace privilégié de l’évangélisation. Il ne peut donc pas y avoir un frère qui se retire dans un état d’isolement. Ce serait un contre-sens, un contre-témoignage. Pour le saint, en effet, l’amour pour le Père grandit autant que l’amour pour le frère au visage duquel se trouvent les traits du Créateur. Un amour qui, chez François, s’étend jusqu’à devenir cosmique car la fraternité devient une étreinte envers toute créature: même le Soleil est appelé frère et la Lune sœur.
Huit siècles plus tard, malgré la croissance des égoïsmes et la montée des barrières de toutes sortes, le monde a toujours soif de fraternité et de paternité. Il est constamment à sa recherche. Le témoignage du Poverello d’Assise, qui a voulu devenir «frère de tous les hommes», est très actuel et nous pousse, avec un autre François, à parcourir le chemin de la fraternité.
Alessandro Gisotti – Cité du Vatican
en semaine
8h: du lundi au vendredi à Saint Bonaventure.
Le Dimanche
Samedi soir: 18h15 à Saint Jean-Saint Pierre
Dimanche: 9h15 (2ème et 4ème dimanche du mois) à Cuxac d’Aude (Magri)
10h30 à Saint Bonaventure
La messe du dimanche soir n’a pas lieu à Saint Bonaventure mais au Somail à 18h.
à Saint Bonaventure
Matin: du lundi au samedi : 7h20
Dimanche: 8h
Soir (vêpres): 19h